Compagnie Macartan

Bernard Crombey montre que la vie d’un cancre ne relève jamais d’un héritage génétique et que l’on peut s’en sortir. Il joue avec justesse, finesse, humour. Le Cancre est la preuve par le théâtre que rien n’est jamais perdu. Une réussite.
Jack Dion
Bernard Crombey met tout son cœur dans ces textes de Daniel Pennac, tendres, espiègles et touchants.
Armelle Heliot.
Pourquoi donc Pennac a-t-il été mauvais élève ? Il nous révèle qu’il ne connaît pas la réponse à cette question, mais il montre comment il s’est abîmé dans cet état. Heureusement, l’histoire se finira bien. Bernard Crombey saisit toute l’humanité du propos de Pennac. On connaît la tendresse bienveillante du comédien pour ses personnages et son adresse à nous la faire partager. Une fois encore, Crombey remplit lui aussi cette fonction de passeur avec classe et générosité. Il fait confiance aux mots de Pennac et il a bien raison.
Dimitri Denorme
Bernard Crombey s’est mué en grand comédien. Il parvient à saisir avec sensibilité la détresse de ces enfants tout en questionnant l’incompréhension éducative. Quand les désespérés nous apprennent l’espoir…
Myriem Hajoui
L’acteur apparaît dans un plaisant décor d’Yves Collet qui évoque la classe, l’amphithéâtre. Il est à la fois le cancre et l’enseignant. Le jeu, la diction de Bernard Crombey sont justes, fins, drôles, attachants. Et ces textes sont merveilleux ! Ils ouvrent les portes de la curiosité et de la culture. Gilles Costaz
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